Les liens tendus jusqu’aux ... les liens étirés de sons non dit partis et la courbe insipide du temps cognée aux affres éperdus des désirs morts les cloches qui s’effritent sans bruit curieusement Les cloches affligées qui sonnent un silence aux peaux absentes Un silence de l’oreille attentivement je guette un retour de murmure un mot seulement pour que se brisent ma tentation insolemment mon goût des mutismes du sauvage acerbe âpre ... apogées glacées des solitudes |