De ces heurts incessants Au pôle et en mon centre Aux danses elliptiques quadriller le cercle des saisons pour aller Des jugements sur mon front que je me fais de mes interrogations le retour celui du vent des gémissements entre les grilles celui du souffle sur mes mains Dedans des serpents sifflent et notent Et des cailloux s’écrivent lentement sur mon dos Ceinture tendue entre les mots Et coup de trique sur la joue De ce chaos en mon corps répandu en le monde je ferai si je sais une étoile qui danse un silence émanant pour se taire Mais toujours sanglots tissées au-dedans mouchoir plié en quatre dans les limbes des méninges écarlates anguleuses aux sonorités de ravin où j’échois |