La pluie vole en éclat sur le mat embarquée par le rire des mélodrames pianistiques Tape sur les carreaux Ordinaire des mots redits berceuse morne Et mouillés les oiseaux s’envolent papier mâché sur les branches évidées trépassées Se répète le tourbillon du soleil et de la lune Infiniment jamais pareil et sur le phénix se fige la lumière hypothétique aux aguets qui s’enfuit La pluie tambourine mots maudits sur les carreaux |