Assise sur le flanc des collines tondues Je guette l'étincelle Les ruines symphoniques du souffle sur mon dos me ramènent à la mer J'augure la longue absence de ce qui ne viendra qu'à la chute des pierres Fracas des gemmes mornes Assise sur le flanc des tourbières je guette l’escarbille Et le corps se déplie aux abords des futaies où le chêne prophète chante le possible encore de ce qui ne viendra qu'à la tombée du jour Lorsque vaines les ruines obstinées capituleront peut-être |