Depuis les trottoirs venteux, Quand le ciel d'hiver respire l'infini, observer les carrés de lumières suspendus aux façades. Là, sur chacun d'eux un théâtre d'ombres chinoises A chaque fois si différent et pourtant, partout le même. Toujours. Comme des feux de bois autour desquels chacun se serre avec le vague sentiment d'appartenir à ce cercle indistinct dont la recherche perpétuelle des contours sera notre unique quête. |