Paul Carlotti
                             








 

Depuis les trottoirs venteux,
Quand le ciel d'hiver respire l'infini,
observer les carrés de lumières suspendus aux façades.

Là, sur chacun d'eux un théâtre d'ombres chinoises
A chaque fois si différent et pourtant, partout le même. Toujours.

Comme des feux de bois
autour desquels chacun se serre
avec le vague sentiment d'appartenir à ce cercle indistinct
dont la recherche perpétuelle des contours sera notre unique quête.






 

  • Catherine dit :
    13/11/2016

    De très belles images qui nous parlent à tous

  •  



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