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Ces paroles lui coûtaient, mais la nature est obscure. Les amoureux de l’étang veillaient et n’y saisissaient que couic ! Je t’aime, nous t’aimons, sardine toi ! Tu n’es tenue par rien, aucune bulle, reviens à la réalité du mouvement et de l’échange. Sur tout ne fronce pas les plis de ta peau humide. | ||
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Tes deux bp (on dit bien "bd" pour bandes dessinés, alors pourquoi pas "bp" pour bandes photographiées, sisi...) sont vraiment réussies car tes photos se marient d'une bien belle manière à ta prose...
Photos d'une beauté exceptionnelle où netteté, douceur et transparence se côtoient..
Quant à tes textes, je les ai apprivoisés, telle une petite princesse... Et à défaut d'un renard, j'y ai d?couvert une bien jolie rainette....
MeRcI pour ce moment de bonheur partag? !
c'est un beau regard sur le petit monde que nous ne voyons plus ou mal, de plus fan des couleurs fortes et subtiles à la foi, elles m'intiguent ...
Et les lignes qui relient tout cela ...
Vraiment une très belle entrée .
Bravo