Béantes les oubliées, Dénudées par le temps inclément, Malmenées par le temps qui passe… Trop vite ! Béantes les oubliées, Eventrées par le vent indécent, Orbites creuses mutilées de leur bois Si nues ! Vous ne nous gardez plus ni du chaud, ni du froid. Profondément inutiles ? Non. Nous restons maîtresses de la lumière, frontières ténues entre hors et dans. |